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Au cas où vous auriez manqué ces nouvelles…

  • Monday, November 04, 2019 9:17 AM | Deleted user


    Le mois de novembre offre, cette année, un véritable festival de planètes qui occupera les astronomes amateurs et amatrices pour plusieurs longues nuits.

    Commençons par la planète la plus proche du Soleil qui sera sans aucun doute « la star » du mois de novembre : Mercure. La journée du 11 novembre sera tout simplement exceptionnelle.

    En savoir plus.


  • Thursday, October 10, 2019 12:22 PM | Deleted user


    L’Agence spatiale canadienne demande l’aide des centres de sciences pour recruter de futurs astronautes!

    L’Agence spatiale canadienne a lancé récemment la campagne Astronautes juniors destinée aux enseignants, aux éducateurs, aux responsables d’organismes jeunesse et aux jeunes Canadiens de la 6e année à la 3e secondaire (de la 6e à la 9e année hors Québec).


    En offrant des activités de la campagne Astronautes juniors, vous aurez la possibilité de gagner la visite d’un astronaute ou d’un spécialiste du domaine spatial dans votre organisme. Il suffit de s’inscrire et de faire au moins une des activités disponibles sur le site Web Astronautes juniors avec un groupe de jeunes dans un des volets proposés : science et technologie, condition physique et nutrition ou communication et travail d'équipe. Un tirage au sort sera effectué parmi les écoles et organismes admissibles de chaque province et territoire. Vous pouvez avoir une chance par volet terminé (jusqu’à trois maximum).

    Les jeunes qui complèteront au moins une activité dans chacun des trois volets pourront participer au recrutement d’astronautes juniors de l’ASC. Des jeunes de partout au Canada seront sélectionnés et auront la chance d’aller à l’Agence spatiale canadienne à Saint-Hubert, au Québec, pour suivre une semaine de formation avec des astronautes, des scientifiques et des ingénieurs.

    Visitez le site Web d’Astronautes juniors pour en apprendre davantage et vous inscrire! Nous vous encourageons aussi à ajouter votre nom à cette liste d’envoi par courriel pour recevoir les plus récentes nouvelles de la campagne.


  • Thursday, October 10, 2019 11:23 AM | Deleted user


    Par Alice Sun, stagiaire, communication scientifique, ACCS, Programme de communication visuelle en environnement, Fleming College 

    Pour le futur de l’apprentissage des sciences au Canada, il est essentiel de comprendre que « l’innovation ne se fait pas en vase clos », et c’est le message que véhicule le thème du Congrès de l’ACCS 2020, mais que cela veut-il vraiment dire ?  

    Pour Christina Tessier, présidente et chef de la direction d’Ingenium, cela signifie de se concentrer davantage sur le partage d’histoires plutôt que sur les obstacles. En appliquant cette philosophie, Christina repousse les frontières, faisant tout ce qui est nécessaire pour offrir de nouvelles expériences attrayantes aux visiteur.euse.s des musées. C’est ainsi qu’elle est parvenue à des résultats extraordinaires tout au long de sa carrière de 15 ans dans le monde des musées et de la culture.

    En tant que communicatrice scientifique débutante, j’ai ressenti un très grand enthousiasme à l’idée d’interviewer Christina. Lors de notre rencontre, nous avons discuté des moments surprenants de sa carrière ainsi que de la manière dont elle entrevoit le futur de nos centres et musées de sciences. 


    Questions et réponses avec Christina TessierQuestions et réponses avec Christina Tessier


    Pour vous, que signifie le terme « décloisonnement » ?  

    Pour Ingenium, je pense que le terme « décloisonnement » est tout aussi important à l’interne qu’à l’externe. Nous essayons de refléter cela dans la manière dont nous travaillons en équipe. Nous considérons que la collaboration est une valeur essentielle de notre organisme. Quand je pense à la collaboration au sens large, je pense à la manière dont les centres et musées de sciences ont toujours travaillé ensemble. Au dernier congrès de l’ACCS auquel j’ai participé à Halifax, j’ai vraiment senti la chaleur de notre communauté et l’importance qu’elle accorde à l’inclusion, et à quel point nous voulons nous soutenir les un.e.s les autres.

    Je pense que nous avons maintenant l’occasion de porter notre réflexion bien au-delà de nos propres sites partout au pays, et de considérer la manière dont nous communiquons avec les universités, l’industrie, le gouvernement, les ONG, les artistes et autres. Pour ne pas seulement les amener à notre table mais aussi aller nous asseoir à la leur, pour continuer à apprendre les un.e.s des autres, et à appliquer les choses que nous apprenons de nouvelles manières dans le travail que nous faisons. Je pense qu’il existe de nombreuses nouvelles sortes d’occasions d’apprentissage continu dont nous pouvons toutes et tous bénéficier non seulement si nous pouvons vraiment concentrer nos efforts sur le décloisonnement mais aussi si nous pouvons être ouverts à la collaboration avec de nouveaux partenaires, auxquels nous n’avons peut-être jamais pensé auparavant.

     

    Pouvez-vous me donner un exemple d’en quoi consiste le fait d’être ouvert aux nouvelles occasions ?

    Absolument. Nous avons énormément travaillé avec une entreprise du nom de SEED du Sud de l’Ontario, pendant 5 à 6 ans. Il s’agit d’une entreprise de jeux. Lorsqu’elle a approché Ingenium au départ, la compagnie en était à ses tout débuts, et elle recherchait un partenaire. Elle ne recherchait pas seulement un contrat rapide, mais voulait plutôt mettre sur pied un partenariat qui profiterait aux deux parties, un partenariat dans le cadre duquel nous pourrions créer du nouveau contenu canadien que nous pourrions partager d’une nouvelle façon. Comment pouvions-nous utiliser les expériences proposées dans les musées, les offrir par le biais de l’élaboration d’un jeu, et les partager dans tout le pays et dans le monde entier ?

    Heureusement, l’un de mes prédécesseurs, Fern Proulx, qui était président et chef de la direction d’Ingenium par intérim à l’époque, s’est montré très ouvert à l’idée de travailler avec SEED, et ils ont commencé à collaborer avec le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada sur ce qui est devenu une série entière d’applications mobiles et maintenant de jeux vidéo sur Nintendo Switch. L’un des jeux, portant sur la première guerre mondiale et les as de l’aviation, a déjà été téléchargé 1,4 million de fois ! Et puis, nous avons un nouveau jeu sur le thème de l’espace qui sort cet automne et qui a été baptisé « Starblox Inc. » (sortie le 18 octobre), qui illustre ce partenariat et la manière dont nous combinons ce sens du jeu avec l’acquisition de connaissances dans les domaines de la science et de la technologie.


    Ingenium offre tellement d’exemples uniques de fusion de la science et des arts. Avez-vous un exemple favori ou plus mémorable que les autres à nous donner, illustrant les résultats spectaculaires que peut donner cette fusion ?

    Quand je pense à ce mot « spectaculaire », l’exemple qui me vient vraiment à l’esprit, c’est en fait ce que je ressens avant même d’entrer dans le Musée des sciences et de la technologie du Canada. Il y a là, sur la façade blanche, un immense écran qui a fait partie de la vision architecturale quand l’édifice a été revisité. Celles et ceux d’entre nous qui étaient occupé.e.s à travailler sur le contenu, à l’intérieur du musée, n’avaient jamais vraiment pensé à cet écran jusqu’à l’approche de la date d’ouverture du musée. C’est alors que nous avons réalisé que nous devions programmer l’un des plus grands écrans DEL du pays !  

    Peu sûrs de notre capacité à faire cela étant donné le temps qu’il nous restait, j’ai approché l’Office national du film du Canada. Nous savions qu’en ce qui a trait à l’audio-visuel, l’Office s’y connaissait ! Ils ont embarqué dans l’aventure et se sont avérés de fantastiques partenaires pour la programmation de cet écran, non seulement d’un point de vue technique mais aussi d’un point de vue artistique. Nous avons remonté la rue sur à peu près 500 mètres pour comprendre comment les gens verraient cet espace, longtemps avant d’arriver au musée. Comment pouvions-nous utiliser l’écran pour attirer les gens au musée ? Comment pouvions-nous utiliser le mouvement sur l’écran pour attirer l’attention de loin ?

    La vision avec laquelle ils nous sont revenus non seulement utilisait l’espace disponible mais aussi les couleurs de l’arc-en-ciel, la géographie et le temps. Ils avaient créé une séquence de 3 minutes qui explorait des thèmes scientifiques et techniques d’un bout à l’autre du Canada, qui incluait les cultures autochtones, et que nous avons trouvée absolument fantastique. Cela a créé un point d’entrée dans le musée où vous avez l’occasion de changer vos perspectives avant même d’avoir vu nos expositions. Si vous vous tenez à proximité du musée, vous pouvez voir les visiteur.se.s s’arrêter et prendre un moment pour en profiter pleinement. Les jeunes enfants courent vers l’écran pour y toucher et se demandent ce qu’il se passe autour d’eux/d’elles. Nous sommes très enthousiastes à l’idée de continuer d’explorer comment nous pouvons utiliser ce que nous considérons à présent comme un espace artistique, et nous espérons travailler avec des étudiant.e.s et d’autres artistes du pays pour raconter davantage d’histoires.

     

    Pouvez-me parler de résultats inattendus qu’a donnés une de vos nouvelles initiatives ?

    Nous avons une initiative qui s’appelle Les femmes dans les STIM, qui comprend une exposition itinérante, une série d’affiches et un certain nombre de choses en ligne. Ce que nous avons vraiment trouvé intéressant, cela a été de voir la diffusion de notre série d’affiches par le biais d’un grand nombre de missions et ambassades canadiennes à travers le monde. Un des premiers endroits à en avoir se trouvait au Kazakhstan ce qui, bien sûr, nous a toutes et tous surpris.e.s. Avoir créé un produit que les gens peuvent si facilement utiliser et partager a été une excellente manière pour nous de parler de tout cela. Nous nous tenons debout et nous disons combien il est important pour les femmes et, franchement, pour tout le monde, d’avoir sa place à toutes les tables quand nous parlons de science et de technologie.


    Alors si vous aviez un seul message à faire passer au monde entier, quel serait-il ?

    Nous voulons être un endroit où tout le monde puisse se sentir le bienvenu ou la bienvenue, penser qu’il ou elle est pertinent.e, et qu’il ou elle est estimé.e. Je pense qu’il est important pour nous toutes et tous d’ouvrir nos portes et nos tables. D’encourager la diversité des voix autour de ces tables, d’examiner les idées visant à définir ce qu’est un organisme où l’on apprend des choses, de toujours réfléchir à la manière dont nous pouvons améliorer ce que nous faisons, comment nous le faisons et comment nous prenons nos décisions en ce qui a trait au travail effectué dans nos musées de sciences et dans nos centres de sciences. Je pense que beaucoup de tout cela revient à prendre des risques, et cela implique d’être ouvert.e à l’échec, de penser à la manière dont nous pouvons encourager notre organisme et notre personnel à sentir qu’ils peuvent prendre ces risques, tout en créant un environnement dans lequel nous prenons en considération le processus et non pas nécessairement les résultats pour mesurer le succès.


    Comme Christina et Ingenium l’ont montré, le futur de l’apprentissage des sciences ne nécessite pas seulement de « décloisonner » les choses mais aussi de tendre la main et d’être ouvert.e à des partenariats improbables. Cela implique de créer un espace où chacun.e est le ou la bienvenu.e quels que soit son genre, son ethnicité, ou ses capacités. Cela implique de contribuer à un environnement où les gens ont la sensation de pouvoir, en toute sécurité, sortir des sentiers battus et prendre des risques. C’est ce qui est nécessaire pour innover, pour ne pas rester en vase clos, parce que, pour un esprit ouvert, tout est possible.


    *Les réponses ont été modifiées pour des raisons de longueur et de clarté.


  • Thursday, October 10, 2019 11:16 AM | Deleted user


    Nous aimerions saluer et féliciter tous les membres de l’ACCS qui ont été reconnus et récompensés le 10 septembre, à l’occasion du GSCA 2019 International Conference and Trade Show à Victoria, en Colombie-Britannique (Canada).

    Meilleur lancement de film par un cinéma (ex æquo)

    Telus World of Science-Edmonton, Campagne de marketing pour Superpower Dogs

    Big Shoe

    Mike Lutz, Evans & Sutherland

    Meilleur kiosque IMAX (Mention honorable)

    Théâtre OMNIMAX du Shoppers Drug Mart au Centre des sciences de l'Ontario

    En savoir plus.


  • Wednesday, October 09, 2019 1:59 PM | Deleted user


    David Marskell, chef de la direction du THEMUSEUM, a déclaré : « Notre vision est d’impressionner, d’inspirer et d’éclairer les gens mais, parfois, nous voulons juste nous amuser ! Nous sommes enchantés que THEMUSEUM, Kitchener et la région de Waterloo aient une visibilité nationale ! ».

    Toute notre équipe souhaite exprimer sa gratitude de faire partie de quelque chose d’aussi grand et merveilleux que la production de l’émission The Amazing Race Canada.


    Articles connexes :

    https://themuseum.ca/hemuseum-and-spectrum-exhibition-featured-nationally-on-ctvs-the-amazing-race-canada/

    https://www.narcity.com/travel/ca/on/2019-amazing-race-canada-locations-in-ontario-you-can-visit-irl



  • Wednesday, October 09, 2019 1:55 PM | Deleted user


    Science Nord reçoit de l’aide pour Terre dynamique 

    Pour aider à l’élaboration de nouveaux programmes et d’un espace d’exposition à Terre dynamique, Science Nord va recevoir 1,1 million de dollars. Cette aide provient du Fonds du Canada pour les espaces culturels du gouvernement fédéral.  

    Le député de Sudbury, Paul Lefebvre, a déclaré dans un communiqué : « Les expositions et les programmes de Terre dynamique sont d’une importance vitale pour le Nord de l’Ontario, car ils permettent aux résident.e.s et aux visiteurs et visiteuses de mieux comprendre comment fonctionne le monde autour d’eux et elles, et comment il évolue. »


    Article connexe :

    https://leaderpost.com/news/local-news/science-north-gets-1-1-million-for-dynamic-earth-upgrades/wcm/1dc36548-429e-4b70-85ec-f34f0f1d0b3c



  • Wednesday, October 09, 2019 1:52 PM | Deleted user


    Dans un récent sondage Twitter organisé par un journaliste de la CBC pour les affaires municipales, Science World a été élu édifice le plus emblématique de Vancouver, l’emportant ainsi sur 31 autres édifices de la ville. 


    Article connexe :

    https://www.vancouverisawesome.com/2019/09/08/science-world-iconic-building-vancouver/



  • Wednesday, October 09, 2019 1:49 PM | Deleted user

    Des expériences scientifiques d’une durée d’un an ont été lancées par deux étudiant.e.s du secondaire de la ville de Timmins, sur la base de lancement de ballons stratosphériques de la ville, le 16 septembre 2019. 

    La présidente du conseil d’administration de Science Timmins, Lorraine Cantin, a déclaré que tout au long de l’année, les étudiant.e.s ont dû procéder à des essais, modifier des choses et résoudre des problèmes. Elle a également ajouté que « les étudiant.e.s  avaient développé beaucoup de belles qualités qui vont leur servir toute leur vie quelle que soit la voie dans laquelle ils ou elles s’engageront ». 


    Une étudiante de 12e année, de l’École secondaire catholique Thériault, Magalie Durepos-Letourneau, trouve les rayons cosmiques « tellement fascinants » qu’elle a choisi ce sujet pour son expérience, ajoutant que, grâce au projet, elle apprend la détermination. 

    Ben Dunkley, un étudiant de 8e année de O’Gorman Intermediate, a lancé une expérience qui suivra la quantité d’ozone dans la couche d’ozone. « L’an passé, j’ai découvert ce qu’étaient les produits chimiques appelés CFC (chlorofluorocarbones), et qu’ils étaient en fait en train de détruire activement la couche d’ozone, et j’ai voulu voir dans quelle mesure cela nous affecte dans notre région », a déclaré le jeune Dunkley. 



    Article connexe :

    https://www.timminspress.com/news/local-news/student-scientists-launch-year-long-experiments



  • Wednesday, October 09, 2019 1:45 PM | Deleted user


    Deux nouvelles expositions ont ouvert leurs portes au The Exploration Place Museum et au Centre des sciences de Prince George (C.-B.). Ces deux expositions encouragent les visiteurs et les visiteuses à apprécier l’état des langues autochtones et à enrichir leur vocabulaire. 

    L’exposition itinérante Our Living Languages: First People’s Voices in B.C invite les visiteurs et les visiteuses à découvrir ce que font les communautés des Premières Nations partout dans la province pour aider 34 langues différentes à survivre et à prospérer.

    Mary Gouchie: Hubodulh’eh est une exposition maison montrant l’engagement d’une aînée de la Première Nation Lheidli T’enneh à revitaliser les langues. Les visiteurs et les visiteuses apprendront tout sur Mary, sur son travail en tant qu’ambassadrice pour sa communauté à Prince George et ses environs, ainsi que sur son engagement envers la revitalisation des langues. 

    Les deux expositions sont présentées du 15 septembre 2019 au 6 janvier 2020.

     


    Articles connexes :

    https://www.princegeorgematters.com/local-news/dakelh-other-bc-indigenous-languages-featured-in-new-exploration-place-exhibits-1689718

    https://www.theexplorationplace.com/galleries-3/galleries/2019-fall-our-living-languages



  • Friday, October 04, 2019 11:48 AM | Deleted user

    Lors du conseil municipal du 10 septembre, la Ville de Laval a mandaté l’entreprise de construction Cosoltec pour la conception, la construction et la mise en service du centre d’interprétation des biosciences Armand-Frappier (CIBAF).

    Le nouveau bâtiment hébergera le Musée Armand-Frappier, lieu de rencontre entre le grand public et les scientifiques qui a pour mission de favoriser la compréhension d’enjeux reliés à la santé humaine et de faire connaître l’œuvre du Dr Armand Frappier à travers différentes activités éducatives et expériences stimulantes.

    En savoir plus.




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